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Par bourok le 10 Novembre 2005 à 10:06
(02-02-2005)
Doucement elle retourne le corps abimé
Ses mains en attrapant les poignets
Elle serpente, glisse un baiser
Des menottes de cuir lassées
Une main son sexe enserre
Lentement l'inserre
Douce misère
Enfer.
Revers
Flanc et chair
Usés de lannieres
Rougis, brulés d'éclairs
Elle le chevauche en damné
La peau brule, torture à crever
Mais le regard supplie de gouter
Encore , encore.... Ma Dame prenez
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Par bourok le 10 Novembre 2005 à 10:06
(08-01-2005)
Fruit fendu, fruit défendu,
Lorsque tes lèvres exquises
Esquissent un sourire ému,
Mon corps tout entier s'enlise
Inconscient. Mon moi me fuit
Mon sur-moi se meut... sur toi,
Nos âmes et nos corps se lient
En un corps à corps sans loi...
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Par bourok le 10 Novembre 2005 à 10:05
(09-01-2005)
Libre et incandescente elle renaît de ses sens,
Consumant d'un regard les jeunes innocents,
Foudroyant d'un baiser même les plus vaillants,
Sa nature est son juge et son châtiment,
Elle est femme, légère et insouciante
Poussant par plaisir de raison à démence
Désirez là, prenez là, sans méfiance,
La douce mort dans les bras d'une amante.....
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Par bourok le 10 Novembre 2005 à 10:05
(10-01-2005)
Ce regard.. Ce regard infini
Que tu as laissé voguer
Parmi rales et cris,
Comme dépossédée.
L'odeur de tes cheveux,
Le gout de ta peau chaude.
Le son de tes avoeux,
Et ton corps qui minaude..
Le visage empourpré
Par le plaisir naissant
D'une danse endiablée
N'ayant rien d'innocent.
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Par bourok le 10 Novembre 2005 à 10:04
(30-12-2004)
Cette danse a des vertus qui sans cesse font renaître
Le feu en mon corps et la force en mon être
Tel le métal au four, incandescent et souple
Rouge de plaisir lorsque nos sens s'accouplent
Je perçois l'infini désir de ta chair
Mêlant à l'envie l'Eden et l'Enfer
Fiévreuse volupté déracinant les corps
Pour ne laisser paraître que deux êtres morts
Morts de s'être enlacés au fort de la tourmente
Epuisés d'une étreinte tel l'amant à l'amante
Confinés alors en leur quintessence
Tel le phœnix prêt à la renaissance
Amie tu me délivres de mes liens
Par ce baiser je me fais tien
Que le sang à nos lèvres signe ce pacte
Que des scribes anciens en prennent acte
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