• (24-05-2005)

    Ses yeux plantés dans les miens elle ne répond rien. Juste une morsure de sa lèvre inférieure en détaillant chaque centimètre de mon corps. Son regard gourmand s'attarde sur ma queue, caresse mon gland, soupèse mes couilles. C'est un instant suspendu, immobile, tu attends sa réponse. Je n'entends que vos souffles précipités, haletants et mon cœur qui cogne à tout rompre.

    « Je le veux » et son bassin marque une profonde ondulation pour t'inciter à poursuivre. Ses yeux se ferment, ses dents entaillent sa lèvre. Chaque coup de gode lui arrache un gémissement de plus en plus vite, de plus en plus fort. Les jointures de ses doigts blanchissent, son visage de contracte, ses hanches ondulent et c'est ensemble que vous hurlez votre plaisir, vos deux voix mêlées dans le plus harmonieux des accords.

    J'ai tellement envie d'elle, envie de toi, que mon sexe en devient douloureux. Jouir serait pour moi, au-delà du plaisir, une délivrance.

    Elle a jouit. Les interdits sont levés. Elle engloutit mon sexe avec avidité. Je suis au bord de l'explosion. La pulpe de son majeur m'effleure le scrotum en des mouvements d'une intolérable douceur, d'une lancinante lenteur. Sa langue parcourt le tour de mon gland, les sensations m'assaillent : chaleur humide de sa salive immédiatement refroidie par son souffle haletant. J'enrage d'avoir les mains liées, de ne pas pouvoir toucher son corps, saisir ses cheveux...

    Tu te retires tout doucement d'elle, lui arrachant un dernier gémissement. Ton visage disparaît derrière sa croupe haut tendue. Ses lèvres se contractent autour de ma queue lorsque ta langue commence à titiller son anus. Elle se cambre davantage, son bassin décrit d'amples cercles pour mieux s'offrir à ta langue. Je la pénètre autant qu'elle me suce. Ma queue va et vient dans sa bouche pendant qu'elle me caresse. Sa langue sur mon gland, mon gland sur sa joue... Je sens une très légère morsure lorsque enfin tu la pénètres provoquant un long gémissement étouffé par ma queue dans sa bouche.

    A la voir ainsi prise par nous deux et étourdie de plaisir je n'en puis plus. J'explose en longues saccades qui viennent mourir dans sa gorge. Je hurle, je tremble, je frissonne. Mes yeux se ferment. Je ne touche plus terre.


    votre commentaire
  • Mardi matin, il fait un soleil doux mais il me semble qu'au dehors il fait froid.

    Un jean, un pull coll roulé, un sweat à capuche blanc et des baskets assorties, voilà j'ai l'air d'un djeuns .. je sors, le soleil est en effet présent mais le vent est plus que frais...

    Ca fait deja 4 jours que je me traine un mélange détonnant de sinusite et otite... alors je vais prolonger mon arrete de travail..

    Je prends la route pensif, au détour d'un viarge une école, je m'arrete, j'y regarde les enfants jouer..

    Au loin 2 petites filles sur des vélos qui roulent paisiblement, plus pret des garçons qui se chamaillent pour monter au tobogan, des filletes encore qui essaient de se porter l'une l'autre, des coups de voyou ici et là des gamins qui se balancent sur des chevaux montés sur ressort au point qu'on se croirait à un rodeo.... Je les regarde dans leurs tenues si proches de ce que jeportais moi meme à cette époque là, il ssont beaux, ils sont bruyants et vivants.

    Je les regarde et je me dis qu'il me manque cet enfant que je n'ai pas ... mais il faut être patient... je le suis, je le serai.

    Je remarque que pour les surveiller il n'y a en fait que des femmes, c'est étrange, je suppose que peu d'hommes ont cette vocation peut être ou bien prefere t on la présence marternelle de femmes aupres des jeunes bambins mais le manque d'homme est criant en fait.. le plus vieux de la cour doit aoir 6 ans ..

    Je poursuis ma route avec un sourire discretement reveur, je vais récupérer lse papiers qu'il faut et puis sur le retour, je susi pensif, toujours, pensif sur ma situation mes envies, mes reves, mes songes, sur tout et sur rien au point que je me perds moi qui étais pressé de rentrer qu chaud, je me perds un peu, dans mes idées comme sur la route... j'ai des doutes, finallement j'arrive à bon port, mais je n'ai qu'une certitude alors.. c'est de savoir ou j'habite..


    2 commentaires
  • Le meilleur moyen d'éviter les mauvaises rencontres c'est de ne pas en faire...

    malheureusement c'est aussi la meilleure façon d'éviter les bonnes..


    19 commentaires
  • Je dormais encore, je dormais à peine

    Mais suffisamment.. Bien assez

    Pour qu'en rêveries tu m'emmènes

    A chérir d'Orient ton palais.

    Je fais parfois ce rêve étrange que profitant de mon sommeil tu te glisses sous les draps.

    Bercé
    par le délice de tes caresses et les songes qui en naitraient je
    poursuivrais lentement mon chemin en Eden. Je te verrais en reve
    emprisonner entre tes levres ce membre ou mon coeur palpite.. sourire
    naif mélé de plaisir.. le corps noyé en voie lactée je me sentirais
    perdre pieds dans l'innocence troublante des rêveries.. en jouir.. en
    jouir inconscient.. délivré.. perdu ..

    Heureuse et satisfaite
    d'avoir su à nouveau me faire défaillir corps et ame tu gouterais
    longuement le miel qui habillerait ta gorge en me gardant au chaud
    encore .. encore un peu .. Lentement tu serpenterais le long de mon
    corps inerte et brulant .. et loin .. loin tout au loin dans mes songes
    ... comme en écho aux frissons .. j'entendrais jusque dans ma chair les
    doux mots que tu me réserves ... :

    "Je t'aime".


    24 commentaires