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Par bourok le 10 Novembre 2005 à 10:09
(24-03-2005)
J'ai laissé sur la porte
La trace de mes doigts
J'ai laissé comme morte
L'empreinte sur le bois
Et chaque jour qui passe
Elle ignore cette présence
Et chaque jour m'efface
Du fond de sa conscience
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Par bourok le 10 Novembre 2005 à 10:05
(10-01-2005)
J'ai trouvé dans ses yeux une lumière exquise
Douce chaleur d'un feu le soir sur la banquise
Elle a du pouvoir sur ma volonté
Sur mes sens, sur mon être entier
Elle a glissé en moi les frissons les plus fous
De terribles émois loin dans mon coeur de loup
Elle a du pouvoir sur mes songes
Sur les désirs qui me rongent
Toutes ailes déployées, mon ange passe
Toute L déployée elle m'enlasse
Elle a du pouvoir sur ma vie
Sur mes gouts, mes envies ...
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Par bourok le 10 Novembre 2005 à 10:04
(30-12-2004)
Perdre la vie, perdre l'envie,
Le goût des choses, à la folie
Tu m'as laissé à demi mort
Tu as cru que j'étais plus fort
Mais je t'aime,
Y a pas de mots pour te le dire,
Que des sanglots, que des soupirs
Je t'aime..
J'ai plus de larmes pour te pleurer
J'vendrais mon âme s'il le fallait
Prenez mon corps, prenez mon être
Mais pas la femme que j'ai vu naître ..
Je l'aime...,
Y a pas de mots pour le lui dire,
Elle est ma vie, mon avenir ...
Je l'aime ..
Que mon sang coule dans les rivières
Si personne n'écoute mes prières
Ma vie s'effondre et je regarde
Mon bonheur comme un jeu de carte
Je l'aime...,
Y a pas de mots pour le lui dire,
Je vais mourir de trop souffrir
Je l'aime ..
3 commentaires -
Par bourok le 10 Novembre 2005 à 10:03
(07-01-2005)
Le vide, un vide abyssal qui m'étreint l'âme,
Un vide absolu, cette obscurité effrayante
Qui noie dans son antre les dernières larmes
D'une lumière qui s'étiole, lancinante
Plus un bruit, les sens tous aux aguets,
Mais rien pour troubler l'angoissante
Quiétude, au parfum de mausolée
Sous les ténèbres rampantes...
3 commentaires -
Par bourok le 10 Novembre 2005 à 10:03
(13-12-2004)
Suis je trop fou ? suis je trop lâche.. ?
Et que me valent ses attaches.
Ses menottes à mes poignets
Qui font de moi le prisonnier
De ma déraison croissante
La folie me guette rampante
Un peu plus elle m'isole
Contraint par cette camisole
Je suis à bout, las et ivre
Auncun autre choix que de ... vivre..
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